vendredi 15 novembre 2013

Emo illustrating musical paradox

The music industry took the opportunity of the growing interest for the emotional music in the starting of the century, but the failed at softening it for major audience, instead they mixed it up with metalhead productions.

The fact is i think Emo is a reaction to metal music that is really anti-emotionnal, "fake-thug" you know just look at the 80s metal faggots like dave mustaine who was a coke addict to repress his obvious homosexuality. just kidding

While emo is beautifully in contact with reality and brothership, metal is full of hatred and ridiculous competitionning between shredders that continuously copy one another and play music like robots.

Then media arrived with that fucked up scene kid shit that made people commit suicide. Emo music was pointed out for being the cause of the social problem towards the youth but the fact is the music industry is fucking contaminated, miles away from what people really live with their old vision of the world as a fucking monopoly boardgame. Music is supposed to come FROM people, not coming AT them.

samedi 13 juillet 2013

Show de Guns and Roses au FEQ 12 juillet 2013

          Ça ne me le disait pas tant que ça d’aller au show de guns and roses sur les plaines, mais tant qu’à être à Québec pis toute, ce qui fait que je débarque de la bus à place d’Youville et j’y monte. Je croise des gars de par chez nous qui partent avec des mauvais commentaires en plus, je tournais en rond dans le hall d’entrée asphaltée. Je voyais pas mal de vieux en état d’ébriété dont un couché (endormi) à plat ventre sur l’épaule d’une pente. J’ai crampé de lui tellement qu’il s’est réveillé en me remerciant. Il en est pas revenu que je lui offre de finir sa bière. J’avoue que j’en ai laissé un fond avant de l’échapper sur le site historique duquel l’industrie du spectacle a réussi à prendre l’honneur. Bon, on finit par entrer sur un guns and roses en plein dedans SWEET CHILD, cependant personne ne me vit jambe par-dessus cou parce que Slash boude sur son succès. Soit dit en passant on a plus de chance de le revoir dans un show de Black Sabbath qu’à un de Guns and Roses.
               
            Il y avait des gens (incluant les bébés attachés sur le torse d’un adulte) à un point tel que la distance de monsieur rose m’empêchait de pouvoir le distinguer en direct et c’était malin pour le cerveau de voir sur l’écran géant le drummer faire un punch un temps après l’avoir entendu, à cause d'un décalage technique. Une chanson commence et me dit quelque chose, mais je me dis que ça ne peu pas être ça pour de vrai; ils ont joué another brick in the wall… J’ai beau me sauver vers la ville, je me sentais à une tente de village. Au moins il n’y a pas eu de bryan adams, l’autre cover qu’ils ont joués les pistoles roses c’est The Seeker avec un riff modifié à la 2005. Ce fut bientôt l’heure où le jadis beau AXEL RSOE enfourche le banc de son piano perso. Je fus surpris de voir qu’il avait dû y mettre beaucoup de temps de pratique, mais en même temps, qu’est-ce qu’il est vieux! Donc dirais-je que le chanteur qui changeait de chandail provoquant pour les féministes aux deux-trois tounes a réussi à animer mon intérêt avec son doigté? Non, mais surprise.
                
        C’est plutôt un des ^ guitaristes, non pas le chérubin gothique au t-shirt Monster, mais celui avec une tresse en métal dans la barbe qui obtint une tribune pour tenter de faire cantonner un hymne halloweenesque. Admettons que dans une échelle de chat à fantôme, je l’aurais classée pierre tombale. C’est qu’il t’avait une christie de belle guitare wow j’avais juste le goût de la jouer. Parlant de remarquer les guitares, entrons dans le vif du sujet de ce qui m’a donné le goût d’écrire cet article : je vis qu’un des guitaristes avait une GIBSON LES PAUL BUCKETHEAD SIGNATURE, et je l’entendis, et beaucoup de liens se firent. En effet, les trois guitaristes sur scène étaient des shredders, pas mal plus que Slash, et j’entendais des sonorités qu’exploitait l’homme masqué dans les années 90, soit des grooves très funky, pas très en rapport avec le hard rock des années 80, et l’utilisation intensive de la crybaby pendant un des nombreux solos de leur interprétation de Knockin’ on Heaven’s door. En passant, le grand virtuose faisait la tournée avec ce légendaire groupe dans les années 2000 pour ceux qui n’avaient pas compris.

               
         Une finale grandiose avec autant de notes par secondes que de confettis dans l’air, la foule était encore en transe à 11h50, mais en bon vieux monsieur assied sur son pesant d’or, axel et ses hommes sont revenus saluer leur supporteurs en leur souhaitant une bonne soirée, ce qui annonça clairement la fin du spectacle.